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PARENTHÈSES / PARENTHETISCHE EINSCHÜBE
28-29 mars 2014

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PARENTHÈSES / PARENTHETISCHE EINSCHÜBE
Colloque international organisé par
Laboratoire de Recherche sur le Langage (EA 999)
Maison des Sciences de l’Homme de Clermont-Ferrand (USR 3550)
Université Blaise Pascal - Clermont-Ferrand II 28-29 mars 2014


INSCRIPTION - ANMELDUNG

Veuillez effectuer votre inscription avant le 13 mars 2014 sur : http://parentheses.sciencesconf.org

INSCRIPTION - ANMELDUNG

Bitte melden Sie sich vor dem 13. März 2014 über folgende Webseite an : http://parentheses.sciencesconf.org

Programme

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Présentation
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Informations pratiques
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Praktische Informationen

Please scroll down for the German version

Les 28-29 mars 2014, le Laboratoire de Recherche sur le Langage (LRL EA 999) de l’Université Blaise Pascal organisera le colloque international annuel des linguistes germanistes de l’enseignement supérieur en France. Le colloque aura lieu à la Maison des Sciences de l’Homme à Clermont-Ferrand (F) et réunira des chercheurs français et étrangers.

La langue du colloque et de la publication est l’allemand. Exceptionnellement, la communication pourra être présentée en français.
Le thème du colloque sera
Les Parenthèses / Parenthetische Einschübe.

Depuis l’Antiquité les parenthèses font partie des figures rhétoriques et ainsi des moyens linguistiques considérés comme contribuant au discours efficace. La spécificité qu’on leur attribue dans la tradition rhétorique est de compléter et de commenter l’énoncé principal (cf. Schreiter 1991). Depuis le Moyen-âge, on insiste également sur la « perturbation » (
interruptio, perturbatio) qu’elles provoquent dans la construction régulière de la phrase (cf. Hähnemann / Rupp 2003).

Dans la recherche récente, on observe un intérêt grandissant concernant les phénomènes parenthétiques (cf. par ex. Greule 1998, 2005, 2006 ; Stein 2003, Dehé / Kavalova (éd.) 2007, Döring 2008 et la bibliographie sélective ci-dessous).
Mais on constate qu’à ce jour, il n’y a consensus ni sur la définition des parenthèses ni sur les phénomènes à catégoriser comme tels. La délimitation des phénomènes parenthétiques d’avec les appositions, les propositions relatives, les structures de discours rapportés, les ajouts, les adjonctions, les anacoluthes, les exclamatifs / interjections ou leur proximité voire leur recoupement avec ces évènements et phénomènes linguistiques sont controversées.

Au demeurant, on constate un certain accord concernant l’idée qu’une parenthèse constitue une unité dotée d’une certaine indépendance sur les plans intonatif, structurel, syntaxique, sémantique, communicatif et qu’elle interrompt une autre unité à laquelle elle se réfère. Ces unités interrompues / ces structures d’accueil peuvent être des énoncés mais également des constituants d’énoncés ou des textes, la parenthèse se présentant comme extérieure à la structure informationnelle de la structure d’accueil. Ses fonctions identifiées sont le commentaire, la précision, la correction, la modalisation. Les parenthèses elles-mêmes peuvent également revêtir une morphosyntaxe et une structure variables : allant du mot(-phrase) à des unités supra-phrasales. Différents critères de définitions conduisent évidemment à des catégorisations et des résultats de recherche différents. Dans l’analyse de leur forme, la notion d’ellipse / d’élision, elle-même controversée voire contestée dans sa pertinence théorique, est souvent mise à contribution.

Afin de contribuer à la discussion actuelle, de préciser l’objet lui-même, ses différentes propriétés et ses impacts communicatifs et discursifs, nous invitons à soumettre des propositions de communication qui traitent des aspects suivants :

  • Délimitation et définition : comment délimiter les parenthèses par rapport à d’autres structures, par exemple appositives, relatives etc. (cf. ci-dessus) ?
  • Prosodie : signaux horématiques et propriétés intonatives des parenthèses / identification et / ou catégorisations des parenthèses à l’aide de schémas prosodiques ?
  • Typographie : équivalence des parenthèses, des tirets, des virgules, format différencié des caractères ?
  • Linéarisation : en quelle/s position/s une parenthèse peut-elle s’insérer ? Dans quelle mesure ces positions sont-elles variables ? Quelles positions paraissent (im-)possibles ?
  • Syntaxe : Quelles formes peuvent revêtir les structures d’accueil et les parenthèses ? Quelles relations entre la forme d’une parenthèse et celle de sa structure d’accueil ?
  • Référence : Quelles peuvent être les référents sémantiques et pragmatiques des parenthèses ? Quels procédés peut-on appliquer pour identifier la structure d’accueil et la référence de la parenthèse ? Quelles références au co(n)-texte à l’intérieur de la parenthèse ?
  • Quelles fonctions communicatives sont assurées par les parenthèses ?
  • Comment évaluer l’apport informationnel des parenthèses ? Constituent-elles systématiquement une information ‘secondaire’ (Pittner 1995 : 102) ?
  • Quelle nécessité et quelle attractivité communicatives attribuer aux parenthèses ?
  • Quelles corrélations éventuelles entre parenthèses et genre textuel, entre parenthèses et langue écrite et langue orale ?
  • Quelles conséquences a une parenthèse pour le traitement de l’information du co(n)-)texte ?
  • L’histoire de la langue : les évolutions dans l’emploi, la fréquence, les formes des parenthèses ?
  • La parenthèse dans une perspective contrastive avec l’allemand.
  • Quels traitements des parenthèses dans l’histoire de la linguistique en tant que figure rhétorique, en tant que sujet abordé dans les traités de style, les parenthèses dans leur mise en relation avec l’ellipse ? A quel moment et dans quels contextes émergent des approches discursives et textuelles ? Dans la perspective historiographique, d’autres traditions linguistiques que celle en pays germanophones peuvent être prises en compte.


La publication des actes du colloque est prévue – après évaluation anonyme par un comité scientifique international – chez l’éditeur allemand Stauffenberg (Tübingen) dans la collection Eurogermanistik.

Langue des communications et de la publication : allemand. Durée des communications : 30 minutes (+ 10 minutes de discussion).

Calendrier
  • Soumission des propositions : 15 septembre 2013
  • Notification d’acceptation aux auteurs : 15 novembre 2013
  • Date du colloque : 28-29 mars 2014
  • Date limite de remise des articles au comité scientifique de la publication : 15 juin 2014
Frais d’inscription : 60 euros (doctorants et étudiants : 20 euros)

Comité scientifique

Irmtraud BEHR (Paris), Sandra DÖRING (Leipzig), Klaas Hinrich EHLERS (Frankfurt / Oder // Berlin), Albrecht GREULE (Regensburg), Gerda HAßLER (Potsdam), Maxi KRAUSE (Caen / Berlin), Anne LARRORY (Paris), Michel LEFEVRE (Montpellier), Günter SCHMALE (Metz), Friederike SPITZL-DUPIC (Clermont-Ferrand), Maria THURMAIR (Regensburg), Marie-Hélène VIGUIER (Paris).

Organisation : Wendy Schottman, Friederike Spitzl-Dupic
Contact : friederike.spitzl-dupic @ univ-bpclermont.fr

German version
PARENTHETISCHE EINSCHÜBE
Internationales Kolloquium

Call for Papers

Université Blaise Pascal - Clermont-Ferrand II

28.-29. März 2014

Organisation :
Laboratoire de Recherche sur le Langage (EA 999)
Maison des Sciences de l’Homme
de Clermont-Ferrand (USR 3550)

Am 28. und 29. März 2014 wird das Laboratoire de Recherche sur le Langage (LRL EA 999) der Université Blaise Pascal das im Jahresrhythmus stattfindende internationale Kolloquium der germanistischen Sprachwissenschaftler Frankreichs in Clermont-Ferrand (F) organisieren.

Thema des Kolloquiums sind
parenthetische Einschübe.

Parenthesen gehören seit der Antike zu den Stilfiguren und werden in der rhetorischen Tradition als sprachliche Mittel betrachtet, die zur wirkungsvollen Textgestaltung beitragen, indem sie die Kernaussage ergänzen oder kommentieren (dazu Schreiter 1991). Seit dem Mittelalter wird auch die „Störung“ (
interruptio, perturbatio) betont, die Parenthesen in der regelmäßigen Satzkonstruktion hervorrufen (dazu Hähnemann / Rupp 2003).

In der Forschung der letzten Jahre ist ein vermehrtes Interesse an Parenthesen und Einschüben zu beobachten (vgl. Greule 1998, 2005, 2006 ; Stein 2003, Dehé / Kavalova (Hrsg.) 2007, Döring 2008, u. die Literaturliste unten).

Doch gilt bis heute, dass „[...] wenig Einhelligkeit [besteht], was Parenthesen eigentlich ausmacht“ (Stoltenburg 2006 : 139) und welche sprachlichen Ereignisse als parenthetische Einschübe einzuordnen sind. Ihre Definition wie auch ihre eventuelle Abgrenzung zu Appositionen, Relativsätzen, zu „parenthetischen“ Redewiedergabeindikationen, zu Nachträgen, Anakoluthen, Exklamativen / Interjektionen bzw. ihre Nähe zu einer oder mehrerer dieser Kategorien werden kontrovers diskutiert.

Einhelligkeit scheint im Allgemeinen darüber zu herrschen, dass es sich um strukturell, kommunikativ, syntaktisch, semantisch
irgendwie selbstständige Einheiten handelt, die andere Einheiten unterbrechen und sich auf diese beziehen. Einhelligkeit scheint auch darüber zu bestehen, dass es sich bei den unterbrochenen Trägereinheiten nicht nur um Sätze handelt – abgesehen davon, dass diese ja auch Gegenstand umstrittener Definitionsansätze sind – sondern dass auch Texte und subphrasale Einheiten als Trägerstrukturen fungieren können. Im Allgemeinen werden parenthetische Einschübe außerhalb der Informationsstruktur des Trägers angesiedelt. Als typische kommunikative Funktionen spricht man ihnen Kommentierung, Präzisierung, Korrektur, Modalisierung zu. Einhelligkeit scheint schließlich darüber zu bestehen, dass die unterbrechenden Einheiten ebenfalls von unterschiedlicher Form sein können – von Ein-Wort-Ausdrücken über Phrasen und Satzfragmente bis hin zu Sätzen und Texten.

Unterschiedliche Definitionskriterien führen aber natürlich auch zu unterschiedlichen Kategorisierungen und Forschungsergebnissen, sodass diese auf den ersten Blick konsensuell erscheinenden Aspekte auch sehr unterschiedlich perspektiviert werden.

Das Kolloquium soll zur Diskussion dieses in allen linguistischen Perspektiven wichtigen Phänomens einen Betrag leisten und zur präziseren Erfassung des Forschungsobjekts selbst, seiner Relationen zum Ko(n)text und seiner kommunikativen und diskursiven Implikationen dienen.

Parenthetische Einschübe sollten dabei als sprachliche Ereignisse verstanden werden,

  • die auf Äußerungsebene mit ihrem direkten Ko(n)text keine direkte Einheit bilden,
  • deren Funktion es nicht nur ist, zur Identifizierung der Referenz ihrer Bezugsgrößen beizutragen.

Die Beiträge können u.a. folgende Aspekte behandeln :
  • Definition : Wie lassen sie sich parenthetische Einschübe gegen andere „einschubverdächtige“ Sequenzen abgrenzen ?
  • Prosodie : Welche prosodisch-intonatorischen Muster weisen parenthetische Einschübe auf ? Lassen sich (Unter-)Kategorisierungen parenthetischer Einschübe mittels prosodisch-intonatorischer Muster vornehmen ?
  • Typographie : Funktionen und (Un-)gleichwertigkeit von Grenz-/Unterbrechungssignalen (Klammern, Gedankenstriche, Kommata, Kursivdruck etc.) ?
  • Linearisierung und Topologie : Inwiefern sind parenthetische Einschübe verschiebbar ? Welche Positionen sind (un-)möglich ? Welche internen topologischen Merkmale der parenthetischen Einschübe lassen sich beobachten ? In welcher Beziehung stehen diese zur Trägerstruktur ?
  • In welcher Form können Trägerstrukturen realisiert werden ?
  • Wie lassen sich die semantischen und pragmatischen Bezugsgrößen der Parenthesen bestimmen ? Sind die Trägerstrukturen immer die (alleinigen) Bezugsgrößen parenthetischer Einschübe ? Welche Verweismittel auf Bezugsgrößen finden eventuell innerhalb des Einschubs Verwendung ?
  • Wie lassen sich Relationen zwischen parenthetischen Einschüben oder zwischen bestimmten Typen von ihnen und ihren Trägerstrukturen syntaktisch beschreiben ?
  • Welche Relevanz hat der Begriff Ellipse / fragmentarische Äußerung für das Verständnis parenthetischer Einschübe ?
  • Sind parenthetische Einschübe immer eine „Begleit-„ bzw. „Nebeninformation“ (Pittner 1995 : 102) ?
  • Welche Konsequenzen haben Parenthesen auf die Informationsverarbeitung des Ko(n)textes ?
  • Welche kommunikativen Funktionen erfüllen parenthetische Einschübe ?
  • Welche kommunikative Notwendigkeit und Attraktivität haben parenthetische Einschübe ?
  • Sind parenthetische Einschübe oder bestimmte Typen von ihnen mit bestimmten Textsorten bzw. einem bestimmten Kode (Mündlichkeit, Schriftlichkeit) korreliert / korrelierbar ?
  • Sprachgeschichte : Lassen sich in der Geschichte der Sprache Entwicklungen in der Verwendung und der Form parenthetischer Einschübe beobachten ?
  • Geschichte des Parenthesenbegriffs in der deutschen und europäischen Sprachtheorie : als Figur der Rhetorik, als Thema von Stillehren, Parenthesen in ihrem Bezug zur Ellipse, als Text- und Diskursphänomen, in der Geschichte des Forschungsinteresses.
  • Willkommen sind ebenfalls Beiträge zu parenthetischen Einschüben in kontrastiver Perspektive, wobei Deutsch als Kontrastgröße fungieren sollte.


Die Länge der Vorträge beträgt 30 Min. (+ 10 Minuten Diskussion).

Die Tagungssprache ist Deutsch. Ausnahmsweise kann der Vortrag auf Französisch gehalten werden.

Die Veröffentlichung ist unter der Aufsicht eines internationalen wissenschaftlichen Beirats in der Reihe „Eurogermanistik“ bei Stauffenberg (Tübingen) geplant.

Die Benachrichtigung über die Annahme der Vorschläge erfolgt zum 15. November 2013.
Die zur Veröffentlichung vorgeschlagenen Texte werden zum
15. Juni 2014 erbeten.

Die
Tagungsgebühren betragen 60 € (Studierende : 20 €).

Wissenschaftlicher Beirat : Prof. Dr. Irmtraud BEHR (Paris), Dr. Sandra DÖRING (Leipzig), Dr. PD habil. Dr. Klaas Hinrich EHLERS (Frankfurt / Oder // Berlin), Prof. Dr. Albrecht GREULE (Regensburg), Prof. Dr. Gerda HAßLER (Potsdam), Prof. Dr. Maxi KRAUSE (Caen / Berlin), Dr. Anne LARRORY (Paris), Prof. Dr. Michel LEFEVRE (Montpellier), Prof. Dr. Günter SCHMALE (Metz), Prof. Dr. Friederike SPITZL-DUPIC (Clermont-Ferrand), Prof. Dr. Maria Thurmair (Regensburg), Dr. Marie-Hélène VIGUIER (Paris).

Organisation : Dr. Wendy Schottman, Prof. Dr. Friederike Spitzl-Dupic

Kontakt : friederike.spitzl-dupic @ univ-bpclermont.fr

BIBLIOGAPHIE SÉLECTIVE / KURZBIBLIOGRAPHIE

Bassarak, Armin 1985. „Zu den Beziehungen zwischen Parenthesen und ihren Trägersätzen“. In : Zeitschrift für Phonetik, Sprachwissenschaft und Kommunikationsforschung 38, 368-375.
Bayer, Klaus 1973. „Verteilung und Funktion der sogenannten Parenthese in Texten gesprochener Sprache“. In : Deutsche Sprache. Zeitschrift für Theorie, Praxis und Dokumentation, 1, 64-115.
Betten, Anne 1976. „Ellipsen, Anakoluthe und Parenthesen - Fälle für Grammatik, Stilistik, Sprechakttheorie oder Konversationsanalyse ?“ In : Deutsche Sprache. Zeitschrift für Theorie, Praxis und Dokumentation 4, 207-230.
Brandt, Margareta 1994. „Subordination und Parenthese als Mittel der Informationsstrukturierung in Texten.“ In : Sprache und Pragmatik. Arbeitsberichte 32, 1-37.
Dehé, Nicole/Kavalova, Yordanka (Hrsg.) 2007. Parentheticals. Amsterdam, Philadelphia : John Benjamins Publishing Co.. (Linguistik Aktuell/Linguistics Today 106).
Döring, Sandra 2008. „Überlegungen zur und-Parenthese im Deutschen“. In : Annali dell’Istituto Universitario Orientale di Napoli – Sezione Germanica (A.I.O.N.).XVIII, 2. 167-192.
Fortmann, Christian 2011. „Die Suggestion der Theorie – Satzmodus-(In)Kongruenz bei Parenthesen.“ In : Zeitschrift für Sprachwissenschaft 30 1, 1-44.
Glikman, Julie 2009. Parataxe et Subordination en Ancien Français : Système syntaxique, variantes et variation, thèse de doctorat, Paris X / Nanterre.
Greule, Albrecht 1998. „Zwischen Syntax und Textgrammatik : die Parenthese bei Otfried von Weißenburg“. In : Askedal, John Ole/Zickfeldt, Wilhelm Hgg.) 1998. Historische germanische und deutsche Syntax. Akten des internationalen Symposiums anläßlich des 100. Geburtstages von Ingerid Dal. Oslo 27.9.-1.10.1995. Frankfurt a. M. : Peter Lang, 193-205.
Greule, Albrecht 2003. „Die Parenthese - nur eine Stilfrage ?“ In : Barz, Irmhild / Schröder, Marianne/Lerchner, Gotthard (Hrsg.) 2003. Sprachstil. Zugänge und Anwendungen. Ulla Fix zum 60. Geburtstag. Heidelberg : Winter, 77-86.
Greule, Albrecht 2005. „Parfum, Parenthese und Textgrammatik“. In : Sieradzka, Małgorzata/Homa, Jaromin/Wierzbicka, Mariola (Hrsg.). Moderne deutsche Texte. Beiträge der Internationalen Germanistenkonferenz Rzeszów 2004. Frankfurt a. M. et al. : Peter Lang, 165-174.
Greule, Albrecht 2006. „Die Parenthesebildung : Variation im Grenzbereich von Syntax und Textgrammatik“. In : Neuland, Eva (Hrsg.) 2006. Variation im heutigen Deutsch. Perspektiven für den Sprachunterricht. Frankfurt a. M. usw. : Peter Lang, 445-458.
Hähnemann, H. / Rupp, M. 2003. „Parenthese“. In : Ueding, Gert (Hrsg.). Historisches Wörterbuch der Rhetorik, Bd. VI, Tübingen : Niemeyer, 575-576.
Hoffmann, Ludger 1998. „Parenthesen“. In : Linguistische Berichte 175., 299-328.
Kim, Doung-Uk 2002. Die Parenthesebildung in der deutschen Sprache : Mit einem Sprachvergleich Deutsch-Koreanisch. Regensburg : Universität Regensburg.
Kügelgen, Rainer von 2003. „Parenthesen handlungstheoretisch betrachtet“. In : Hoffmann, Ludger Hg.) 2003. Funktionale Syntax. Die pragmatische Perspektive. Berlin, New York : de Gruyter, 208-230.
Jefferson, Gail 1972. “Side sequences”. In : David Sudnow (ed.). Studies in social interaction, New York : Free Press, 294-338.
Pétillon-Boucheron, Sabine 2002. Les détours de la langue. Etude sur la parnethèse et le tiret double. Louvain / Paris : Peeters.
Pittner, Karin 1995. „Zur Syntax von Parenthesen“. In : Linguistische Berichte 156, 85-108.
Reis, Marga 2000. „On the parenthetical features of German Was ... W-Constructions and how to account for them”. In : Lutz, Uli/Müller, Gereon/von Stechow, Arnim (Hrsg.) 2000. Wh-scope marking. Amsterdam : Benjamins, 359-409.
Reis, Marga 2002. “Wh- movement and integrated parenthetical constructions.” In : Abraham, Werner/Zwart, C. Jan-Wouter (Hrsg.) 2002. Studies in comparative Germanic syntax : Proceedings from the 15th workkshop on comparative Germanic syntax. Amsterdam et al.. : Benjamins, 3-41.
Schindler, Wolfgang 1990. Untersuchungen zur Grammatik appositionsverdächtiger Einheiten im Deutschen, Tübingen : Niemeyer.
Schönherr, Beatrix 1993. „Prosodische und nonverbale Signale für Parenthesen. ‚Parasyntax’ in Fernsehdiskussionen“. In : Deutsche Sprache. Zeitschrift für Theorie, Praxis und Dokumentation 21, 223-243.
Schönherr, Beatrix 1997. Syntax, Prosodie, Nonverbale Kommunikation : Empirische Untersuchungen Zur Interaktion sprachlicher und parasprachlicher Ausdrucksmittel Im Gespräch, Tübingen : Niemeyer (Germanistische Linguistik 182).
Schreiter, Gotthard 1985. „Der pragmatische Aspekt der parenthetischen Verknüpfung. In : brücken. Germanistisches Jahrbuch DDR-ČSSR 84/85, 175-189.
Schreiter, Gotthard 1988. Die parenthetische Struktur in der deutschen Gegenwartssprache. Diss., Universität Jena.
Schreiter, Gotthard 1991. „Das Zusammenwirken von Satz- und Textkonstitution am Beispiel der Parenthese“. In : Elisabeth Feldbusch, Reiner Pogarell, Cornelia Weiß (Hrsg.). Neue Fragen der Linguistik : Akten des 25. Linguistischen Kolloquiums, Paderborn 1990. Bd. 1 : Bestand und Entwicklung, de Gruyter (Linguistische Arbeiten 270), 363-367.
Sommerfeldt, Karl-Ernst 1984. „Zu Verdichtungserscheinungen im Satzbau der deutschen Sprache der Gegenwart unter besonderer Berücksichtigung der Parenthesen“. In : Zeitschrift für Phonetik, Sprachwissenschaft und Kommunikationsforschung 37, 240-246.
Stein, Stephan 2003. Textgliederung : Einheitenbildung im geschriebenen und gesprochenen Deutsch : Theorie und Empirie. Berlin / NY : de Gruyter.
Stoltenburg, Benjamin 2006. „Wenn Sätze in die Auszeit gehen …“. In : Ágel, Vilmos / Hennig, Mathilde (Hg.) 2006. Zugänge zur Grammatik der gesprochenen Sprache. Berlin / NY : Walter de Gruyter (Germanistische Linguistik 269), 137-176.
Tappe, Hans Thilo 1981. „Wer glaubst du hat recht ? Einige Bemerkungen zur COMP-COMP-Bewegung im Deutschen“. In : Kohrt, Manfred/Lenerz, Jürgen (Hrsg.) 1981. Sprache : Formen und Strukturen. Akten des 15. Linguistischen Kolloquiums, Münster 1980. Tübingen : Niemeyer, 203-212.
Winkler, Christian 1969. „Der Einschub. Kleine Studie über eine Form der Rede“. In : Engel, Ulrich/Grebe, Paul/Rupp, Heinz Hrsg.) 1969. Festschrift für Hugo Moser zum 60. Geburtstag am 19. Juni 1969. Düsseldorf : Schwann, 282-296.



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